« L’eau d’ici vaut bien l’au-delà. »

 » Après une centaine de créations, en vingt ans, François-René Duchâble et Alain Carré relèvent ensemble un défi aquatique !

Un piano, un pianiste et un comédien honorent l’eau et la femme dans tous ses états !

Une manière originale d’honorer le chant des Sirènes en célébrant « la musique et la poésie enlacées chantant leur sublime et éternel duo ! »

« Tendre victime ou femme cruelle, la sirène est, depuis longtemps, un sujet de prédilection pour les écrivains romantiques, qui hésitent entre le rejet et la compassion – à l’image de leur héros – mais sont toujours fascinés et tentés par ce symbole de l’amour impossible. »

 Ici, à l’intérieur de l’élément EAU, les textes et les musiques iront d’écho en écho, d’étincelle en étincelle, de femme en sirène, selon un ordre réfléchi par François-René Duchâble (pianiste) et Alain Carré (comédien et metteur en scène), de la Genèse du monde aquatique à sa sauvegarde, en faisant la part belle à Ondine, Syrinx, la Loreley, Babée, Julie…

Symbole absolu de la tentation, qui est la Sirène ?

Chez les Symbolistes, la sirène se voit attribuer le rôle de la muse. Chez les surréalistes, elle est la femme personnifiée.

Alors, jetons-nous à l’eau et advienne que pourra pourvu que vous sachiez nager !

 « Dans les profondeurs, trône le roi des mers. Les murs de son palais sont faits de coraux et les fenêtres d’ambre. Ses six filles vivent avec lui. La plus jeune est la plus jolie. Sa peau est aussi pure et aussi fine qu’un pétale de rose et ses yeux sont aussi bleus que la mer la plus profonde. » H. C. Andersen. «