Mehdi Yarmohammadi est né en 1979 dans la ville de Zabol en Iran, dans la province du Sistan Baloutchistan aux frontières du Pakistan et de l’Afghanistan .
Je n’ai pour l’instant rencontré que ses sculptures, à l’atelier des artistes en exil de Paris. Approcher un artiste par son seul travail est un face à face toujours énigmatique, mais révélateur lorsque l’œuvre se met à murmurer à votre oreille, avant de pénétrer votre âme. J’ai aimé dans cette œuvre les pleins et déliés vibrants, la place laissée au vide, ce vide plein du monde invisible qui nous entoure, faisant corps avec la sculpture.
Les effets d’ombre et les espaces négatifs sont primordiaux dans mes compositions, le rythme, le mouvement et les formes circulaires lié à des concepts galactiques et métaphysique sont les principales caractéristique de mes sculptures.
La simplicité des formes, les espaces négatifs idéalisés donne une impression de flottaison dans l’air, de délicatesse dans l’expression du mouvement.
Mon but est de représenter des vues emblématiques de cultures profondes et anciennes
à travers des formes visuelles innovantes et des méthodes technologiques nouvelle,
ou se reflètent respect et considération clairvoyante de la Nature.
Je vous invite à la rencontre de cet artiste du 18 au 26 mai 2019, à la galerie Atelier 6 de Chouzy-sur-Cisse. Vernissage le 18 mai à 16H, en ouverture du Festival H²O.
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